Itinéraire de l’héritage débridé de colons immoraux outre-récifs.

Culture, acculture, inculture = retombées des essais nucléaires + autochtones déracinés sur leur terre = mort de concepts mentaux d’un peuple unique.

Conclusion :

Aujourd’hui les Jeunes polynésiens de (aux multiples) talents ont pratiquement peu d’avenir chez eux.

Malheureusement, le ministre de la culture de Polynésie est né mutant culturel par des retombées des essais nucléaires .

En effet, depuis les essais nucléaires, la politique de la France dans cette collectivité d’outre-mer du pacifique sud fut un « GÉNI(E)CIDE » culturel et scientifique pour les autochtones. 

Cette altération sociale fut possible grâce à la corruption des pantins de l’État, qui à force d’argent sale, ont créé des politiquement corrects polynésiens,  qui resteront malgré leur mauvaise foi, les complices de cette démocratie  d’alcôves qu’est devenue la pseudo autonomie interne de la Polynésie française (version fe’i).

Aujourd’hui,  il est factuellement scandaleux, qu’un « ministre de l’inculture », version Maohi soit l’un des spécialistes de la subvention aux « artistes polynésiens » pour les asservir à la politique de la présidence du Pays . 

Comment cela est t’il possible ?

 Simplement par l’obligation pour un «artiste » de faire sa demande  d’obtention d’une carte  professionnelle d’artiste pour avoir des « droits ».

Démonstration de cette inculture ?

 Le talent ou la qualité ne sont pas importants, en arts, lettres, langues et SHS (sciences humaines et sociales), car l’université de la Polynésie est à la 59e place sur 68 universités françaises , le taux de réussite à 3 ans est de 19,6% et, à quatre ans, de 29,9% . 

Que foutent les géniaux professeurs d’université pour justifier leurs (énormes) salaires énormes ?  

Bizarre cette université aux ordres, non ?

 L’urgence pour la culture et la science, et pour de Jeunes polynésiens de talent, est de quitter rapidement le pays ou la France pour réussir leurs études et être reconnus pour ce qu’ils sont , et non devenir de stupides asservis ayant perdu leurs talents en qualité de déracinés dans leur propre Pays.

Il vaut mieux être acculturé en exil que d’être inculte dans son pays.

Mathius le suréviste